Quel défaut dire en entretien d’embauche ? Les bonnes réponses

3 novembre 2025

Scène d’entretien d’embauche avec recruteuse en costume noir, gestes explicites et CV visible entre les mains de la candidate

Face à un recruteur qui vous demande de citer vos défauts, la panique n’est pas une option. Cette question révèle votre capacité d’introspection, votre honnêteté et surtout votre aptitude à transformer vos points faibles en opportunités de croissance. Vous redoutez cette question ? C’est normal. Mais une fois préparée, elle devient l’occasion de montrer votre maturité professionnelle et votre lucidité sur vous-même.

Pourquoi les recruteurs posent-ils cette question ?

Lorsque je vous pose cette question en tant que recruteur, je ne cherche pas à vous piéger. Mon objectif premier ? Évaluer votre niveau de préparation à l’entretien.

Un candidat qui bafouille révèle son manque d’anticipation. À l’inverse, une réponse structurée témoigne d’un investissement sérieux dans votre candidature. Cela vous permet de démontrer que vous avez pris le temps de réfléchir à votre profil.

Cette interrogation me permet également de mesurer votre degré d’autocritique. Les employés capables de reconnaître leurs limites sont généralement ceux qui progressent le plus rapidement. Ils savent identifier leurs axes d’amélioration et mettre en place des stratégies pour y remédier.

L’honnêteté représente un autre enjeu majeur. Je veux m’assurer que vous êtes capable de sincérité sans tomber dans l’excès de franchise. Il s’agit d’un exercice d’équilibre délicat où vous devez démontrer votre authenticité tout en préservant votre image professionnelle.

Enfin, cette question teste votre intelligence émotionnelle. Comment réagissez-vous face à l’inconfort ? Comment transformez-vous une question potentiellement déstabilisante en opportunité de vous valoriser ?

Les défauts acceptables à mentionner en entretien

Les défauts liés à l’ambition (impatience, perfectionnisme, obstination)

Le perfectionnisme figure parmi les défauts les plus stratégiques à mentionner. Lorsque je vous entends dire que vous accordez parfois trop d’importance aux détails, je comprends que vous avez le souci du travail bien fait.

En pratique, ce trait révèle une exigence envers vous-même qui bénéficie directement à l’entreprise. Attention cependant : nuancez votre propos en précisant que vous avez appris à hiérarchiser vos priorités.

L’impatience, correctement présentée, traduit votre dynamisme et votre orientation vers l’action. Vous n’aimez pas l’attentisme ? Cette qualité déguisée en défaut séduit les entreprises évoluant dans des environnements rapides. Précisez simplement que votre impatience ne vous pousse jamais à la précipitation.

L’obstination démontre votre ténacité face aux obstacles. Vous ne baissez pas les bras au premier échec et persévérez jusqu’à atteindre vos objectifs. Cette détermination représente un moteur puissant pour les projets complexes. Veillez à mentionner que vous savez reconnaître quand l’acharnement devient contre-productif.

Concrètement, l’ambition elle-même constitue un défaut acceptable qui révèle votre désir d’évolution. Vous visez haut professionnellement et cherchez à progresser continuellement. Modérez toutefois votre discours pour éviter de paraître carriériste.

Les défauts relationnels compensables (franchise directe, timidité réfléchie)

La franchise directe représente un atout déguisé en défaut. Vous préférez aborder les problèmes de front plutôt que de les laisser s’envenimer ? Cette transparence favorise une communication saine au sein des équipes.

Cela vous permet de résoudre rapidement les conflits potentiels et d’instaurer un climat de confiance. Illustrez ce trait par un exemple concret où votre honnêteté a désamorcer une situation délicate. Précisez que vous savez adapter votre communication selon les contextes.

La timidité, souvent perçue négativement, peut devenir un atout. Comment ? En la présentant comme une forme de réflexion approfondie. Vous prenez le temps d’analyser les situations avant de vous exprimer, ce qui garantit des interventions pertinentes.

Cette retenue témoigne d’une capacité d’écoute développée, particulièrement recherchée dans les métiers nécessitant de la diplomatie. Montrez que vous travaillez activement à sortir de votre zone de confort en participant davantage aux réunions.

Le bavardage, présenté avec intelligence, révèle votre sociabilité. Vous vous intégrez rapidement aux équipes et contribuez à une atmosphère conviviale. Votre aisance relationnelle facilite la collaboration et le partage d’informations. Nuancez en soulignant votre capacité d’écoute.

Le besoin de tout contrôler illustre votre sens des responsabilités. Vous aimez définir un cadre de travail clair et vous assurer que chacun comprend ses missions. Cette rigueur s’avère précieuse pour le management. Précisez que ce trait ne vous empêche pas de déléguer.

L’émotivité et l’intelligence émotionnelle

L’émotivité représente un défaut délicat mais qui, bien maîtrisé, démontre une sensibilité humaine appréciée. Vous ne restez pas indifférent face aux situations professionnelles ? Vous vous impliquez pleinement dans vos missions.

Cette capacité à ressentir les choses intensément témoigne d’une forme d’intelligence émotionnelle. Cela vous permet de comprendre les besoins de vos collègues, de vos clients ou de vos partenaires. Vous détectez plus facilement les tensions au sein d’une équipe.

Par exemple, les personnes émotives développent une empathie naturelle qui enrichit les relations professionnelles. Vous percevez l’insatisfaction d’un client avant qu’elle ne s’exprime, ce qui vous permet d’intervenir de manière préventive.

L’anxiété, lorsqu’elle est canalisée, se transforme en attention aux détails. Vous préparez minutieusement vos dossiers et envisagez différents scénarios pour éviter les mauvaises surprises. Cette vigilance protège l’entreprise contre les erreurs coûteuses.

Toutefois, expliquez comment vous gérez votre émotivité pour qu’elle ne devienne pas un frein. Mentionnez les techniques que vous avez développées :

  • Prise de recul avant de réagir
  • Expression constructive de vos émotions
  • Recherche de feedback objectif
  • Pratiques de gestion du stress

Cette démonstration de votre capacité à transformer une faiblesse en force rassure les recruteurs.

Comment présenter efficacement vos défauts ?

Transformer vos défauts en atouts avec des exemples

La clé réside dans votre capacité à contextualiser avec une anecdote professionnelle concrète. Un simple mot ne suffit pas. Je veux comprendre comment ce trait se manifeste dans votre quotidien et surtout, comment il peut bénéficier à l’entreprise.

Structurez votre réponse en trois temps. D’abord, identifiez clairement le défaut sans détour. Puis expliquez comment ce trait se manifeste concrètement. Enfin, démontrez les bénéfices pour l’entreprise.

Concrètement, pour l’impatience : « Je suis quelqu’un d’impatient, ce qui signifie que j’aime voir les projets avancer rapidement. Dans mon précédent poste, cette caractéristique m’a poussé à proposer une méthode agile qui a réduit nos délais de livraison de 30 %. »

L’authenticité demeure votre meilleur allié. Je perçois immédiatement quand un candidat récite une réponse apprise par cœur. Choisissez un défaut qui vous correspond vraiment et sur lequel vous travaillez activement.

Entretien d’embauche avec deux recruteurs attentifs, candidate en tailleur noir expliquant un point avec assurance

N’oubliez jamais de conclure en évoquant les actions concrètes mises en place. Vous ne vous contentez pas de constater vos faiblesses ? Vous cherchez activement à progresser. Mentionnez des formations suivies, des méthodes adoptées, des retours sollicités.

Adapter votre réponse aux exigences du poste

L’analyse approfondie de l’offre d’emploi conditionne le choix du défaut à mentionner. Vous devez éviter une faiblesse qui entrerait en contradiction avec les compétences essentielles. Un commercial ne peut pas mentionner sa timidité, tout comme un gestionnaire de projet ne devrait pas évoquer ses difficultés d’organisation.

Pour un poste créatif dans la publicité ou le design ? L’émotivité peut devenir un véritable atout. Cette sensibilité nourrit votre créativité et votre capacité à concevoir des contenus qui touchent émotionnellement votre audience.

À l’inverse, pour un poste d’analyste financier nécessitant rigueur et objectivité, ce même défaut pourrait soulever des interrogations. Votre capacité à prendre des décisions objectives serait questionnée.

Le perfectionnisme s’avère particulièrement pertinent pour les métiers techniques. Dans le développement informatique, le contrôle qualité, la comptabilité ou les métiers de la santé, l’attention aux détails prévient des erreurs potentiellement graves.

En pratique, l’impatience et le dynamisme correspondent aux environnements de startup, aux postes commerciaux ou au marketing digital. La réactivité et l’innovation rapide constituent des avantages compétitifs dans ces secteurs.

Voici comment adapter selon le contexte :

Type d’entrepriseDéfauts pertinentsDéfauts à éviter
StartupImpatience, obstination, ambitionBesoin de cadre strict, lenteur
Grande entreprisePerfectionnisme, méthodeImpatience excessive, changement constant
Poste créatifÉmotivité, passionRigidité, conformisme
Poste techniquePerfectionnisme, rigueurApproximation, improvisation

Montrer votre capacité d’amélioration

La dimension la plus importante concerne les actions concrètes entreprises pour progresser. Je ne me contente jamais d’un simple constat. Je veux comprendre votre démarche d’amélioration continue et les résultats obtenus.

Cela vous permet de distinguer les candidats qui subissent leurs défauts de ceux qui les transforment en opportunités. Cette approche proactive témoigne d’une réelle maturité professionnelle.

Quantifiez autant que possible vos progrès. Si vous avez travaillé sur votre perfectionnisme en apprenant à déléguer, mentionnez que vous avez réduit votre charge de travail de 20 % tout en maintenant la qualité. Ces chiffres crédibilisent votre discours.

Les outils et méthodes adoptés révèlent votre capacité à vous remettre en question. Vous pouvez évoquer :

  • La méthode Pomodoro pour améliorer votre concentration
  • Un système de prise de notes structurées pour compenser une tendance au bavardage
  • Des applications de gestion du temps pour votre organisation
  • Des formations en communication pour votre timidité

Ces références à des techniques reconnues renforcent votre professionnalisme.

Le feedback régulier sollicité auprès de vos collègues démontre une ouverture d’esprit. Comment ces retours vous ont-ils permis d’ajuster votre comportement ? Mentionnez des exemples concrets d’améliorations basées sur ces échanges.

Les défauts et erreurs à éviter absolument

Les défauts rédhibitoires (manque de confiance, désorganisation, incompatibilité d’équipe)

Certains défauts compromettent immédiatement vos chances. Le manque de confiance en soi figure en tête de cette liste noire. Il suggère que vous ne pourrez pas assumer les responsabilités ou défendre vos idées face aux clients.

Entretien d’embauche : les règles d’or pour s’habiller avec succès.

Même si vous travaillez sur ce point, je vous déconseille fortement de le mentionner. Pourquoi ? Il soulève trop de doutes sur votre capacité à performer dans l’entreprise et à prendre des initiatives.

La désorganisation chronique représente un handicap majeur. Un candidat qui avoue manquer de rigueur dans la gestion de ses tâches envoie un signal d’alarme. Les entreprises recherchent des collaborateurs fiables sur qui compter pour livrer dans les temps.

Aucun argument ne peut transformer ce défaut en qualité acceptable. Contrairement à d’autres faiblesses qui peuvent être nuancées, celle-ci reste rédhibitoire dans 95 % des métiers.

L’incompatibilité avec le travail en équipe constitue un défaut éliminatoire. Même les postes les plus indépendants nécessitent une collaboration minimale. Mentionner des difficultés relationnelles majeures me fait immédiatement douter de votre intégration future.

Voici les défauts à ne jamais mentionner :

  • L’impunctualité chronique qui témoigne d’un manque de respect
  • La démotivation ou le manque d’intérêt pour le travail
  • Les difficultés à accepter l’autorité
  • La paresse ou le manque d’initiative
  • L’irresponsabilité dans les missions confiées

Ces traits ne peuvent en aucun cas être compensés ou transformés en atouts.

Les pièges à éviter (faux défauts, manque de préparation, excès d’honnêteté)

Les faux défauts transparaissent immédiatement. Lorsque vous me dites que vous êtes « trop perfectionniste » ou « trop dévoué », je comprends que vous n’avez pas préparé sérieusement votre entretien.

Ces clichés rebattus ne trompent personne. Ils suggèrent soit un manque de sincérité, soit une incapacité à vous analyser objectivement. Je préfère largement un défaut authentique bien présenté qu’une qualité maladroitement déguisée.

Le manque de préparation se révèle cruellement lorsqu’un candidat hésite longuement. Cette question revient systématiquement en entretien. Vous n’avez donc aucune excuse pour ne pas avoir anticipé votre réponse.

Un silence prolongé ou des bafouillements trahissent votre négligence. Comment pouvez-vous prétendre être organisé si vous n’avez pas préparé cette question basique ?

Entretien d’embauche en salle vitrée, candidate en pleine réponse face à un groupe de recruteurs autour d’une table

L’excès d’honnêteté représente un piège pernicieux. Révéler que vous avez des difficultés à vous lever le matin, que vous procrastinez régulièrement ou que vous détestez l’autorité constitue une forme de suicide professionnel.

En pratique, la franchise ne signifie pas tout déballer sans filtre. Je recherche des candidats capables de discernement, sachant faire preuve d’honnêteté intelligente sans compromettre leur candidature.

Évoquer plusieurs défauts majeurs aggrave la situation. Même si je vous demande trois défauts, concentrez-vous sur deux points faibles maximum. Une liste exhaustive donne l’impression que vous êtes un collaborateur problématique.

ErreurImpact sur le recruteurAlternative recommandée
Faux défaut évidentPerte de crédibilité totaleDéfaut authentique nuancé
Hésitation prolongéeManque de préparation perçuRéponse structurée immédiate
Excès d’honnêtetéDoutes sur votre jugementFranchise mesurée et intelligente
Liste de défautsProfil à risque2 défauts maximum bien présentés

Préparer votre réponse avant l’entretien

Identifier vos véritables points faibles

L’introspection sincère constitue la première étape indispensable. Prenez le temps de réfléchir honnêtement à vos comportements professionnels. Quelles critiques reviennent régulièrement dans vos évaluations ?

Cette analyse vous permet de sélectionner des défauts authentiques sur lesquels vous travaillez réellement. Vous évitez ainsi les faux défauts qui nuisent à votre crédibilité.

Sollicitez le regard extérieur de personnes de confiance. Vos anciens collègues ou managers peuvent identifier des traits que vous ne percevez pas toujours. Leur feedback objectif vous aide à valider que le défaut choisi correspond à votre profil.

Cela vous permet également de découvrir des points aveugles que vous sous-estimez. Cette démarche proactive témoigne de votre maturité professionnelle.

Méthode d’identificationAvantagesPrécautions
Auto-analyseConnaissance intime de soi, authenticité garantieRisque de subjectivité, difficulté à prendre du recul
Feedback de collèguesVision objective, exemples concretsBiais relationnels possibles, nécessite confiance mutuelle
Évaluations professionnellesDonnées factuelles, contexte professionnelFocus parfois limité aux compétences techniques
Tests de personnalitéAnalyse structurée, références théoriquesRésultats à nuancer selon le contexte

L’analyse des situations délicates vécues révèle vos points faibles récurrents. Repensez aux moments où vous avez rencontré des difficultés. Était-ce lié à votre organisation, votre communication, votre gestion du stress ?

Ces incidents, même mineurs, constituent des indicateurs précieux. Ils vous permettent d’identifier vos axes d’amélioration réels plutôt que de vous appuyer sur des généralités.

Assurez-vous que le défaut sélectionné n’entre pas en contradiction avec les compétences clés du poste. Cette étape de filtrage s’avère cruciale pour éviter de compromettre votre candidature. Même si un défaut vous correspond parfaitement, s’il remet en question les missions principales, choisissez-en un autre.

Structurer votre argumentaire avec des exemples concrets

La méthode STAR (Situation, Tâche, Action, Résultat) offre un cadre efficace. Cette approche narrative permet de contextualiser votre faiblesse tout en démontrant comment vous la gérez.

Commencez par décrire une situation professionnelle réelle où votre défaut s’est manifesté. Puis expliquez la tâche à accomplir. Détaillez les actions entreprises pour compenser cette faiblesse. Concluez par les résultats positifs obtenus.

Par exemple, pour le perfectionnisme : « Dans mon précédent poste, je passais 3 heures sur un rapport qui nécessitait 1 heure de travail. J’ai appris à définir un seuil de qualité acceptable et à déléguer la relecture. Résultat ? Gain de 40 % de temps tout en maintenant la satisfaction client. »

Préparez au minimum deux exemples concrets pour chaque défaut. Cette préparation vous permet d’adapter votre discours en fonction de l’évolution de la conversation. Si je vous pose des questions complémentaires, vous disposez de matière supplémentaire.

Chronométrez votre réponse pour qu’elle dure entre 1 et 2 minutes maximum. Une explication trop longue risque de faire perdre l’attention du recruteur. À l’inverse, une réponse trop brève suggère un manque de préparation.

Trouvez l’équilibre en allant à l’essentiel tout en fournissant suffisamment de détails. Cela vous permet de rendre votre propos crédible et intéressant sans vous étendre excessivement.

Entraînez-vous à haute voix devant un miroir ou avec un proche. Cette répétition vous permet d’identifier les formulations maladroites, les hésitations ou les tics de langage. Plus vous serez à l’aise, plus votre discours paraîtra spontané.

Voici les éléments essentiels à intégrer :

  • Préparez une transition fluide entre votre défaut et les actions d’amélioration
  • Intégrez des données chiffrées pour quantifier vos progrès
  • Adaptez le niveau de détail selon le temps disponible
  • Variez le ton entre sérieux et naturel pour rester authentique

La préparation minutieuse vous donne confiance. Vous transformez ainsi un moment déstabilisant en opportunité de démontrer votre professionnalisme. Cette maîtrise fait la différence entre un candidat qui subit l’entretien et celui qui le transforme en démonstration convaincante.

Gardez à l’esprit que cette question ne vise jamais à vous éliminer d’office. Elle évalue votre maturité professionnelle et votre honnêteté intelligente. En suivant ces conseils, vous abordez cette étape avec l’assurance nécessaire.

Votre capacité à vous remettre en question et à progresser constitue finalement l’un de vos atouts les plus précieux. Les recruteurs recherchent des collaborateurs lucides, capables d’évoluer et de s’adapter aux défis professionnels. En maîtrisant l’art de présenter vos défauts, vous démontrez exactement ces qualités.

<a href="https://www.netwee.fr/author/adebayova/" target="_self">Léa Ventoux</a>

Léa Ventoux

Je suis Léa, rédactrice freelance pour l’agence Netwee depuis plusieurs mois maintenant. Passionnée par les mots et les stratégies de contenu, j’accompagne les clients de Netwee dans la création de textes percutants et optimisés pour le web. Mon objectif ? Vous aider à transformer vos idées en articles captivants, en mettant toujours l’accent sur le SEO et l’impact marketing.
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